Vers 1854-1860
Crayon noir, lavis gris, traces d’aquarelle bleue
132 × 212 mm

Provenance : Ferdinand Martin (Le Havre), Charles Lavaud (neveu du précédent)

Expositions : Eugène Boudin, Greniers à sel et musée Eugène Boudin, Honfleur, 1992, n° 191, p. 40 (ill.) et p. 238, Eugène Boudin : le trait, la touche, la tache, galerie de l’hôtel de ville d’Aulnay-sous-Bois, 1993, n° 27, p. 65 (ill.), Boudin et les peintres à Honfleur, exposition itinérante au Japon, 1996, n° 77, p. 102 (ill.), Eugène Boudin en Normandie, musée Eugène Boudin d’Honfleur, 1998, n° 88, p. 88 (ill.)

Le dessin, rapidement exécuté avec un crayon noir et légèrement rehaussé de lavis gris, est caractéristique de la production graphique de Boudin dans la seconde moitié des années 1850. Le peintre préfèrera, dès son installation à Deauville au début des années 1860, les représentations plus colorées de mondaines parisiennes